Télécharger Collection 8 Romans- Policiers – Minette Walters Pdf

Chambre froide
Mal mariée à David Muybridge qui la battait, Phoebe vit désormais sous le regard haineux des habitants de son village : ils la soupçonnent d’avoir assassiné son mari mystérieusement disparu il y a dix ans. Entourée par Diana et Anne, qui partagent sa solitude, elle devra démentir les ragots qui se déchaînent lorsque sont découverts, dans le parc qui entoure son manoir, les restes méconnaissables d’un cadavre. La police semble toute disposée à croire qu’il s’agit du mari introuvable, si disposée d’ailleurs à adhérer à cette thèse que les indices qui pourraient innocenter Phoebe sont systématiquement négligés.
Minette Walters excelle dans la description de la lourde atmosphère d’un village anglais prompt à frapper d’ostracisme ceux de ses membres qui feignent d’être indifférents à son jugement. Elle entraîne le lecteur dans une intrigue où les ressorts psychologiques implacables de la rancoeur sont décrits avec Le charme des jardins anglais tient au savant désordre qui y règne et à la fréquence des meurtres qui s’y commettent.

Indifférentes aux ragots du village qui les accusent de sorcellerie et de moeurs bizarres, Diana, Anne et Phoebe, amies intimes en apparence, vivent à l’écart dans un manoir dont le parc abrite une antique chambre froide du XVIIe siècle où l’on découvre les restes congelés et méconnaissables d’un homme aux doigts et aux dents arrachés. Le cadavre serait-il celui de ce salaud de David Muybridge, le mari de Phoebe inexplicablement disparu dix ans plus tôt ? Deux flics aux méthodes opposées, les unes subtiles les autres discutables, tentent de percer l’énigme. Ils auront du mal à faire perdre leur flegme aux trois vipères de StreechGrange.

Cuisine sanglante
Malgré ses aveux, la meurtrière obèse qui a assassiné sa mère et sa soeur à la hache, est-elle vraiment ce qu’elle paraît être? C’est ce que se demande la romancière chargée d’écrire sa vie…

“D’où provenait la fascination qu’exerçait Olive Martin ? Du spectacle grotesque de son mètre cinquante-cinq pour quelque cent vingt kilos ? De sa sinistre notoriété ? De la répulsion qu’elle inspirait ? Elle avait débité sa mère et sa s?ur en morceaux qu’elle avait rassemblés sur le sol de la cuisine en une composition abstraite sanguinolente. L’énormité du crime, jointe à l’impression terrifiante que sa silhouette apocalyptique avait produite sur les membres du tribunal lui avaient valu une condamnation à perpétuité. Le crime mis à part, ce qui rendait son cas exceptionnel, c’est qu’elle avait plaidé coupable et même refusé de répondre.”

Dès sa première rencontre avec Olive Martin, Rosalind Leigh, qui a accepté non sans dégoût d’écrire un livre sur elle, a le sentiment que la meurtrière obèse n’est pas coupable. Mais alors pourquoi ces aveux ? Qui protège-t-elle ? Et pourquoi ?

Les démons de Barton House
Correspondante pour l?agence Reuters, Connie Burns est la première à s?interroger sur un fait divers recensé par les journaux du Sierra Leone : plusieurs femmes ont été violées et massacrées dans des circonstances analogues. Dans ce pays qui se remet à peine d?un conflit sanglant et fratricide, l?événement est banal. Mais Connie est capable de faire le rapprochement avec d?autres meurtres commis sur d?autres théâtres de guerre ? précisément ceux où elle a aperçu et revu le même mercenaire britannique, embauché sous des identités différentes. Lorsque, envoyée en Irak, elle constate des faits similaires, et identifie le même homme, elle commence une enquête qui, finalement, alerte le suspect. Menaces, pressions? Connie disparaît.
Elle réapparaît quelques jours plus tard, indemne. Officiellement, la journaliste est un de ces otages enlevés en Irak et relâchés pour des raisons inconnues. Officieusement, la police et l?armée s?interrogent sur cette captivité atypique : elle n?a duré que trois jours, Connie semble n?avoir subi aucun sévice mais présente un comportement étrange et affirme n?avoir rien vu, rien entendu de ses ravisseurs.
Plutôt que d?affronter les questions, Connie change de nom et loue Barton House, une grande maison cachée au plus profond de la campagne du Dorset. Elle veut se guérir seule de l?horreur subie entre les mains du mercenaire psychopathe, à propos duquel elle est restée muette. Ainsi immergée dans une Angleterre provinciale dont elle ignore tout, elle découvre un autre univers, celui d?un petit village replié sur lui-même, de ses familles refermées sur leurs secrets et leurs haines?
Deux personnes ont pourtant deviné que la jeune locataire de Barton House n?est pas l?écrivain en quête de tranquillité qu?elle prétend être : Jess, qui dirige la ferme voisine, et Peter, le médecin local. Tous deux ont assisté à une de ces crises de panique. Tous deux vont se trouver mêlés à son histoire lorsque le mercenaire psychopathe fait irruption dans Barton House?

La disparue de Colliton Park
Un viol, un meurtre : deux crimes vieux de trenteans empoisonnent les souvenirs d’une petite ville endormie.

En 1970, dans la banlieue populairede Bornemouth, une jeune fille est violée par quatre adolescents. Quelques rues plus loin, une vieille dame est sauvagement assassinée chez elle, et le meurtre imputé à son petit-fils. En 2003, un anthropologue et une élue municipale, tous deux intéressés par les erreurs judiciaires, reviennent sur les faits et découvrent qu’un meurtrier hante toujours les rues de Bornemouth…

Intime pulsion
Acid Row. Une cité-dépotoir.
Une banlieue où le meilleur côtoie le pire. Où un rien peut déclencher n’importe quoi y compris l’horreur. Et un matin la rumeur naît, court, s’enflamme : Amy, une fillette de onze ans a disparu. L’émeute se déclenche, nourrie par la chaleur, les ranc?urs et les frustrations.
Tandis que la police, débordée sur le terrain, s’efforce en vain de contenir la foule déchaînée, les enquêteurs, dans une infernale course contre la montre, tentent de retrouver la jeune Amy. Mais parmi les désaxés et derrière les coupables tout trouvés, qui est le vrai criminel ?

Le sang du renard
Par une lugubre nuit d’hiver, Ailsa Jolly-Renard est retrouvée morte de froid, à moitié dévêtue sur la terrasse de son manoir. Assassinat ou accident ? La police conclut à une mort naturelle par hypothermie. Ce n’est pas l’avis de certaines habitantes de Shenstead, petit village du Dorset, persuadées que son mari, le colonel Jolly-Renard l’a assassinée. Calomnié chaque soir au téléphone par des interlocuteurs anonymes, le vieil homme est emporté dans une spirale infernale. Qui alimente ces rumeurs ? Et quel est le terrible secret de famille qui, depuis des années, hante la mémoire du clan Jolly-Renard ?

La muselière
Mathilda Gillespie parlait trop, buvait trop et terrorisait son entourage. Elle était richissime, avare et fabulatrice. Sa fille se droguait, sa petite-fille la volait. Son testament, ignoré de tous, les déshéritait.
On la retrouva noyée dans sa baignoire, enguirlandée d’asters et d’orties blanches, comme Ophélie, et affublée d’une muselière en fer rouillé, comme une sorcière médiévale. Ce suicide, ou plus vraisemblablement ce meurtre, était une sorte de chef-d’?uvre, une énigme résultant d’une vie entière de mensonges, d’amours étranges, de haines et de violence. Seul le journal intime de Mathilda pourrait peut-être en livrer tous les secrets. Mais ce journal a disparu.

Résonances
Dans le garage de sa luxueuse demeure, l’architecte Amanda Powell découvre un clochard mort de froid. Émue, elle prend en charge ses obsèques. Mais son garage contenait de la nourriture, alors pourquoi cet homme s’est-il laissé mourir de faim ? C’est la question que se pose le reporter Michael Deacon, spécialiste des sans abris. Il se lance dans une enquête au cours de laquelle il recueille Terry, un jeune sans famille qui a préféré la rue à l’internement. Ce grand gaillard d’une quinzaine d’années a bien connu le clochard. Avec son aide et celle d’un photographe, le journaliste plonge dans le passé et s’intéresse à de mystérieuses disparitions.
Si le récit se déroule avec comme arrière-plan social, le milieu des SDF, ce n’est pas là son seul intérêt. Les protagonistes sont tous confrontés à des problèmes affectifs et d’identité que la romancière aborde avec virtuosité, en analysant les relations familiales, la misère, le péché et la rédemption.

 

Titre : Collection Policiers
Auteur : Minette Walters
Editeur : N/A
Collection : N/A
Hébergeur : Multi
Format : epub
Langue : Français
Découpé avec : WinRar
Nombre de fichiers : 1
Taille des fichiers : 5 Mo
Taille totale : 5 MoDownload

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

*

You may use these HTML tags and attributes: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>