surprenant parti d’un destin de femme marqué du sceau du mystère et mal connu en France. Celle que l’Allemagne, où elle s’éteignit en 1837, nomma la comtesse des ténèbres était, il est vrai, une personne aussi intrigante que romanesque au naturel. La comtesse et Batz se distinguent du flot continu des personnages et des faits saisis sur le vif par la rectitude de leurs attitudes et la hauteur de leurs sentiments magnifiés par le sens du devoir. –Bertrand Gosselin